LANCEMENT D’UN NOUVEAU CABINET VIRTUEL DE SERVICES JURIDIQUES AU CANADA Le modèle d’impartition novateur d’Avōkka, un concept prometteur pour les entreprises Le 21 février 2014. Ottawa (Ontario) — Moins de deux semaines après la débâcle du cabinet juridique emblématique Heenan Blaikie, un nouveau cabinet au modèle virtuel révolutionnaire fait son apparition sur le marché canadien. « L’actualité confirme qu’il est temps, pour le secteur juridique au Canada, d’entreprendre la transformation réclamée par tant de personnes, explique Andrew Foti, chef de la direction d’Avōkka LLP. Nous attendions impatiemment que les choses bougent, mais c’est beaucoup trop lent. » Avōkka a inauguré son site Web (www.avokka.com) la semaine dernière. « Les entreprises et le milieu juridique ont été emballés par notre concept », déclare M. Foti. « Pour les clients, ce sont les résultats qui comptent, pas le nombre d’heures. Les cabinets juridiques croulent sous les charges, que les clients ne sont plus disposés à assumer. Notre profession doit s’adapter à la nouvelle dynamique en adoptant des modèles de services flexibles et efficaces permettant aux entreprises d’accéder à des conseils de haute qualité, à un coût abordable. » Contrairement aux cabinets d’avocats classiques aux bureaux somptueux qui s’appuient sur une pyramide d’avocats novices, Avōkka est un cabinet virtuel qui ne rassemble que des avocats chevronnés ayant acquis au moins 20 ans d’expérience pointue, à la fois en qualité d’avocat auprès de grands cabinets juridiques et à des postes de cadre juridique en entreprise. « Nous sommes en quelque sorte des membres indirects de l’équipe de direction; des chefs du contentieux à temps partiel, par impartition, à honoraires fixes. » Lorene Nagata, directrice générale du cabinet de recrutement de professionnels juridiques NagataConnex Executive Legal Search depuis 2004, applaudit la proposition d’Avōkka. « Le ralentissement économique et la contraction de la clientèle exercent beaucoup de pression sur les cabinets juridiques classiques, explique Mme Nagata. Il est évident que les clients veulent autre chose. Il est temps de revoir le modèle de prestation de services juridiques. Et ce sont les entreprises comme Avōkka, qui ont suffisamment de courage et d’assurance pour innover dans ce domaine, qui sont les plus à même de faire florès. » M. Foti et Sudha Berry, cofondatrice d’Avōkka à la tête du bureau de Toronto, deux véritables vétérans dans le secteur, ont exercé leurs activités auprès de cabinets juridiques privés de premier ordre et également assumé les fonctions de chef du contentieux au sein de sociétés ouvertes. Ils ont compris qu’il pouvait être intéressant de travailler sur une base plus stratégique en créant une société nationale de cadres juridiques à la disposition des entreprises. « Nous examinons tous les éléments avant que les clients ne déploient l’artillerie juridique lourde et l’expérience que nous avons acquise nous permet d’éclaircir les situations complexes », indique M. Foti. « Avōkka offre une solution idéale aux entreprises de taille moyenne qui aimeraient bénéficier des services d’un conseiller juridique chevronné, mais n’ont pas les moyens d’engager un avocat interne de ce calibre à plein temps ou de faire appel aux associés de cabinets juridiques dont le tarif horaire peut atteindre 900 $ », précise Mme Berry. « Nous envisageons aussi d’épauler les chefs du contentieux des grandes sociétés qui auraient besoin d’un coup main et voudraient pouvoir compter sur un confrère chevronné dans des dossiers complexes, comme des enquêtes, des restructurations et des litiges dont l’issue pourrait être catastrophique ». « Cela dit, insiste M. Foti, les grands cabinets juridiques restent très utiles. Vous pouvez les considérer comme une véritable armée sur le pied de guerre. Une armée dont l’efficacité dépend d’un chef d’orchestre. » Douglas Clarke, associé chez Therrien Couture Avocats, un cabinet juridique régional du Québec, est tout à fait d’accord. « Nous constatons que certaines entreprises n’ont pas les moyens financiers d’embaucher le personnel juridique dont elles auraient besoin. Lorsqu’elles ont un chef du contentieux chevronné qui cerne les problèmes et s’occupe du travail de préparation, puis donne des consignes précises aux conseillers externes, le travail du cabinet juridique est plus efficace, et cela permet de réduire considérablement les coûts globaux. » La vision d’Avōkka répond apparemment parfaitement aux besoins actuels. « Nous réfléchissons en sortant des sentiers battus et nous sommes capables de creuser les problèmes pour comprendre ce qui doit être fait, déclare M. Foti. Les professionnels d’Avōkka se rendent régulièrement chez leurs clients, avec lesquels ils tissent des liens. Notre travail, ajoute M. Foti, consiste d’abord à nous familiariser avec l’entreprise et avec les personnes qui font appel à nous; ainsi, forts de nos connaissances juridiques, nous les aidons à gérer les dossiers juridiques afin qu’elles puissent se concentrer sur ce qu’elles font de mieux. » Communications avec les médias : Andrew A. Foti Téléphone : 1 888 711-0201, poste 111 Courriel : andrew.foti@avokka.com